C’est en 2005, lors de mes premiers voyages que j’ai commencé à photographier instinctivement, entre autre,
les « oubliés » de la société, marginalisés, errants dans la rue ou sommeillant à même le macadam.

Prenant ainsi davantage conscience de leurs conditions de vie et de leur état de santé, j’ai néanmoins toujours dû faire en
sorte de me "détacher" de chacune des situations rencontrées afin de pouvoir me concentrer sur le message et la technique.


Ainsi, durant ces 12 dernières années où j’ai découvert plus d’une soixantaine de pays,
j’ai été témoin partout d’une société à deux vitesses, quelque soit le système politique et économique en place. 


Aussi, il m’apparaît aujourd'hui évident de relier des messages et des scènes captées dans le monde entier 

afin que les deux éléments se "répondent" et nous invitent à se questionner sur le sens même

de la vie que nous nous imposons et du futur que nous nous réservons.


Je vous présente “DEADS ARE ALIVE”